dimanche 16 septembre 2012

Comment une 231 faisait le plein d'eau sans s'arrêter
Je viens de l'apprendre.
Explication en dessous de la vidéo.


C'est une écope à eau. En gros, la barre est reliée à une cuillère, placée sous le tender. L'eau, placée dans le bac en centre de la voie, remontait dans le tender avec la vitesse du train. Cela permettait d'éviter de faire un arret pour charger en eau le tender, très utile pour les express.
Le mécanicien devait par contre ne pas oublier de relever bien avant la fin du bac, sous peine d'arracher la cuillère, d'où les chaines, pour qu'ils puissent tirer aussi fort et aussi vite que possible ...

3 commentaires:

Calendula a dit...

Etonnant! I still have to think about a bit - how that mechanical thing really worked. Merci beaucoup pour votre recherche! It's a fascinating matter!

By the way, it just caught my eye... the men, who put the coals into the "oven" (I don't know the word: German "Heizer", French: chauffeur de chaudière?), they seemed to be alltogether chain-smoker - they are smoking cigarettes constantly. :-)

Vieux Matou a dit...

"un chauffeur" sur un long parcours (par exemple Paris Cherbourg) pouvait pelleté jusqu'à 7 tonnes de charbon pour nourrir la bête !
Dur travail !
A l'époque la rectitude politique n'éxistait pas...on fumait...comme un pompier ou une locomotive !
A noter que le "chauffeur" quémande une cigarette au conducteur ...hiérarchie !?

Calendula a dit...

Yes, besides the "steam locomotiv" romantic nowadays: at THAT time it was really hard work: dirt, wind, heat, noice and tons of coal!

There really seem to be a hierarchie. The "conducteur" is on command: he whistles at the other one and tell him what to do.