dimanche 11 novembre 2018

Quoi de mieux pour une Saint-Martin ? La vie et rien d'autre.
A VOIR ICI.
Pour les pressés, une belle lettre d'amour...pour les survivants. Je pense toujours à cette phrase de Bardamu dans Voyage au bout de la nuit: Quand on a pu s'échapper vivant d'un abattoir international en folie, c'est tout de même une référence sous le rapport du tact et de la discrétion.




8 commentaires:

Limace des bois a dit...

Salut JP,

Ici de l'autre côté de la marre, pôôô moyen de visualiser ces deux vidéo :

Vidéo non disponible
Cette vidéo inclut du contenu de Studiocanal, qui l'a bloquée dans votre pays pour des raisons de droits d'auteur.


Je pense à toi souvent.

Vive le vin blanc pour se réchauffer !

Vieux Matou a dit...

Salut JP,
Ils sont fatigants avec les droits ! Bien regrettable que vous ne puissiez pas voir ce film que je regarde avec toujours beaucoup de plaisir.
Comment va ton "usine à fer" !?
Justement tout à l'heure je photographiais un écureuil par la fenêtre en me disant: Tiens, un Dzido !
Bon réchauffement.

Vieux Matou a dit...

Essaie avec ce lien...ça marche ici.
https://gloria.tv/video/41CHvYCdX2TxAcyZwyLAX8wwm

Vieux Matou a dit...

Ou celui-là http://streamaclic.fr/la-vie-et-rien-drsquoautre_hd-2709/
Attendre au moins 30s...ça marche itou.

Mimosa a dit...

J’ai tellement aimé ce film!

Limace des bois a dit...

Idem que mimosa ! Film très humain que je n'avais encore jamais vu, merci de cette émouvante découverte pour nous.

En fait pour l'usine à fer, l'ingénieur affecté à ces prélèvements miniers, s'était planté en conversion entre nano et pico !

Il devait avoir un peu trop poussé sur le vin blanc.

Vieux Matou a dit...

Good, bonne nouvelle !

arianrhod a dit...

un film magnifique qui dit tout sur l'absurdité des ces temps...
vous pouvez compléter avec la lecture d'un bouquin d'Exbrayat, "Jules Matrat"
qui rend définitivement anarchiste. L'histoire d'un paysan qui revient en 1918 et qui ne comprend plus rien à rien. Il se rend compte qu'il n'y a plus de place pour lui et des millions d'autres dans le monde d'après la grande boucherie.
Très simplement écrit, à pleurer...