dimanche 27 février 2011
Ah...monsieur Duboc, il commençait souvent ses phrases par ce petit raclement de gorge...un peu nasillard aussi. Ce jour la il était de méchante humeur, Grand-Père avait décidé d'aller sur les brisées de je ne sais plus qui et comme prévu par Duboc et bien ça a foiré !
Il y a des gens de nos jours qui s'étonnent que l'on puisse dire à la vue d'un vol-ce-l'est si on a affaire à un cerf de telle ou telle tête, et bien cet homme la était capable de le dire et il se trompait rarement. Il ramassait même les fumées des cerfs qu'il avait rembucher pour appuyer ses dires au rapport...il les mettait dans son paquet de Gitane ! Un puits de science dans le domaine.
vendredi 25 février 2011
jeudi 24 février 2011
mercredi 23 février 2011
mardi 22 février 2011
...depuis 38 ans que je le vois je me suis dit qu'il valait bien quelques photos...
...et puis à la vitesse ou les arbres disparaissent dans le coin...
...plus il est vieux plus il "frise", ceux la je les appelle "arbres moumoute".
Arbre emblématique du Québec.
lundi 21 février 2011
dimanche 20 février 2011
Dame à cette époque il n'y avait pas encore de chambre froide et la viande d'équarrissage livrée était parfois à la limite du respirable.
L'hiver, passe encore, mais l'été...houfff ! Ce qu'il y avait de plus frais comme viande c'était les bloches qui tombaient des morceaux de barbaque qui tiraient sur le vert, le mauve avec des bulles...
...mais bon après 5-6 heures de cuisson, restait plus qu'à trier les os à la main et répartir la viande dans les auges et la mélanger avec le riz.
En visite en France en 75 passant dans le nord-ouest de Paris (17 ième ?) en descendant de la voiture de mon frère une odeur connue me saute au nez. Tiens il y a un chenil par là ? ...non pourquoi ? Et bien ça sent comme la cuisine du chenil...Ah ! Non mais on n'est pas loin des usines Olida...
Bon appétit !
samedi 19 février 2011
jeudi 17 février 2011
Le 07 février 2011 à 07h35 - commentaires[1]
Sous un soleil printanier, plusieurs centaines de chasseurs venus de tout l’Est de la France — Bas-Rhin, Vosges, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Haute Saône — se sont retrouvés hier après-midi, au centre-ville de Strasbourg pour dénoncer la « politique d’éradication » des grands cervidés, imposée selon eux par l’Office national des forêts (ONF). Ne manquait à l’appel que la fédération des chasseurs haut-rhinois qui, selon Gérard Lang, président des chasseurs du Bas-Rhin, s’est retirée de la manifestation au dernier moment. Un retrait que le président bas-rhinois se refusait hier à commenter.
Au cœur du malaise : l’avenir du cerf dans les Vosges. Selon les chasseurs, l’industrie forestière fait pression sur les chasseurs pour augmenter sensiblement les tirs de cerfs qui causent, selon l’ONF, de très gros dégâts dans les forêts, pénalisant de la sorte la rentabilité de l’exploitation du bois. « En 20 ans, les plans de chasse ont multiplié par quatre les autorisations de tir. Résultat : l’an passé, 72 000 tirs ont été autorisés dans toute la France et 49 000 ont été effectués, a résumé un orateur. Les forestiers raisonnent à moyen terme, à 20 ou 50 ans, alors que nous, chasseurs, réfléchissons à beaucoup plus long terme… »
C’est pourquoi les manifestants d’hier, au nom de la sauvegarde de la biodiversité, ont réclamé la mise en place d’une trame verte courant des Vosges et du Jura, à travers le Palatinat, en Allemagne, jusqu’aux Alpes autrichiennes, afin que le cerf puisse briser les enclaves où il est aujourd’hui confiné.
« Le cerf doit revenir en plaine, dans les forêts rhénanes, celle de Haguenau et de Wissembourg d’où il a été chassé, a ainsi estimé Jean-Michel, un chasseur de 58 ans, dont plus de 20 ans de permis de chasse. Je chasse sur un lot de 305 hectares, du côté de Niederbronn, où l’on nous a imposé un plan de tir de huit cerfs alors que quatre auraient largement suffi. Nous les avons tirés pour ne pas risquer l’amende qui peut aller jusqu’à 1 500 € par tir manquant et pour ne pas risquer de perdre notre chasse, qui peut nous être retirée si nous ne remplissons pas deux ans de suite nos obligations de tir. »
Hier, les chasseurs ont eu le soutien d’Alsace Nature, dont le président Maurice Wintz s’est joint à la manifestation : « Alsace Nature n’épouse pas tous les points de vue des chasseurs, mais nous partageons avec eux l’objectif de création d’une trame verte qui puisse permette aux cerfs de se disséminer et de revenir en plaine. Avec les chasseurs, nous dénonçons la menace d’une industrialisation de l’exploitation forestière. » Fait très peu banal, hier, les chasseurs ont chaudement applaudi l’intervention du représentant de la protection de la nature…
mercredi 16 février 2011
mardi 15 février 2011
Mardi 3 février 1970, 33 iéme chasse.
Assemblée au Poteau de Hollande à 12h.
Attaque meute à mort au Clos au Renard sur un royal portant 12, passe au Poteau des Mares Gautier, passe la route des Bréviaires, retourne sur Hollande, prend la vallée des Bergeries direction la Route aux Vaches, traverse la route de Montfort, descend dans les Ponts Quentins, vend 10 biches (tiens il y en avait encore !) proche des Grands Baliveaux...ça merde un peu puis les chiens le retrouve direction le Pavillon de Chartres, file vers l'Etang des Maurus, retraverse la route de Montfort à la cabane des cantonniers, file vers le château de la Mormaire en faisant des hallalis courants et est finalement servi par A. Dauchez à la lance à 200 m du château de la Mormaire après 2h45 de chasse.
16 iéme cerf de la saison. 3114 iéme de Bonnelles
La grosse gueule du "Nénesse"(Hermès) au milieu. Toujours à la curée celui-la !