Le blog du Vieux Matou.
JP, oui je pense à toi...Les p'tites fleurs et les p'tites bêtes volantes c'est bien beau, mais faut songer à l'hiver implacable revenant sans cesse.En plus le fardeau de chaque année s'ajoutant sur les épaules...Si trop d'années passent, le poids aidant, nous pourrions tous retourner à quatre pattes.Et même sans demander à Miss Barriquette ou Adolphine ; aisé de savoir qu'il faut toujours deux pattes libres en l'air pour soulever des bûches.
La prûche est durable et résiste à la pourriture, aussi bien que le cèdre il paraît. nine
Nine...j'ai toujours entendu dire que la prûche durcissait en séchant. C'est le bois des granges ici, ça durait 100 ans le temps que les jeunes grossissent. C'est le bois de la cabane et celui de la catiche.
Par ici la prûche est inconnue au bataillon.
C'est juste pour les sauvages JP !
JP, aussi pour ceux qui parlent "du nez" lol !Et toi, as-tu également pris cet accent en parlant "du nez" comme chez les sauvages ?
Publier un commentaire
6 commentaires:
JP, oui je pense à toi...
Les p'tites fleurs et les p'tites bêtes volantes c'est bien beau, mais faut songer à l'hiver implacable revenant sans cesse.
En plus le fardeau de chaque année s'ajoutant sur les épaules...
Si trop d'années passent, le poids aidant, nous pourrions tous retourner à quatre pattes.
Et même sans demander à Miss Barriquette ou Adolphine ; aisé de savoir qu'il faut toujours deux pattes libres en l'air pour soulever des bûches.
La prûche est durable et résiste à la pourriture, aussi bien que le cèdre il paraît.
nine
Nine...j'ai toujours entendu dire que la prûche durcissait en séchant. C'est le bois des granges ici, ça durait 100 ans le temps que les jeunes grossissent. C'est le bois de la cabane et celui de la catiche.
Par ici la prûche est inconnue au bataillon.
C'est juste pour les sauvages JP !
JP, aussi pour ceux qui parlent "du nez" lol !
Et toi, as-tu également pris cet accent en parlant "du nez" comme chez les sauvages ?
Publier un commentaire